Une présentation très intéressante de Graeme Rocher. Celui-ci a expliqué les différents problèmes qui existent au niveau de la complexité d’une application J2EE aujourd’hui, tant au niveau de la mise en place que de la maintenance et l’évolution. Voici quelques aspects et la manière dont Grails peut répondre : Fichiers de config – Typiquement il existe de nombreux fichiers de configuration XML dans un application web. Grails favorise la convention plutôt que la configuration explicite. C’est à dire qu’en respectant une certaine convention de nomenclature de classes par exemple, le système saura automatiquement effectuer les enchaînements nécessaires sans configuration. Tags JSP – Les tags sont puissants mais à limite un peu trop flexibles. Lorsqu’ils changent cela peut nécessiter de relancer le container web. Avec Grails des classes sont identifiées comme étant du type « tag » simplement par leur suffixe. Persistence JPA – Trop complexe et trop polyvalent. Avec Grails, la persistence se fait automatiquement sans configuration, en s’appuyant en interne sur les frameworks de persistence classiques. un framework non-intrusif, ce qui signifie qu’on peut continuer à utiliser le langage Java et les outils traditionnels pour coder la partie métier de l’application. C’est d’ailleurs conseillé car Grails reste un langage de script et en ce sens ne bénéficie pas du typage fort et des contraintes sécurisantes d’un passage par un compilateur. Plus d’infos : About Groovy Grails.org